Enfants de 2000 : Ayant par miracle survécus au grand bug de l'an 2000, nos parents entament ce tout nouveau millénaire par un bien bel évènement : la victoire de Zidane en coupe d'Europe, mais surtout notre arrivée à nous, les enfants de l'an 2000 ! Si la planète sur laquelle nous élançons nos premiers pas a depuis belle lurette dépassé le stade des balbutiements, notre enfance à nous n'en demeure pas moins constellée de jolis souvenirs.
Enfants de 1995 : Nés dans un monde post-guerre froide qui commence juste à trouver son équilibre, nous avons fait nos premières quenottes sur un Teletubbie avant d'être pris par la fièvre des Pokémon. De la chute du World Trade Center à la tektonik en passant par Fatal Bazooka et la vague des Youtubers, nous avons grandi plus vite qu'un Tamagotchi branché sur une connexion haut débit. La cybergénération est en marche...
Ayant par miracle survécus au grand bug de l'an 2000, nos parents entament ce tout nouveau millénaire par un bien bel évènement : la victoire de Zidane en coupe d'Europe, mais surtout notre arrivée à nous, les enfants de l'an 2000 ! Si la planète sur laquelle nous élançons nos premiers pas a depuis belle lurette dépassé le stade des balbutiements, notre enfance à nous n'en demeure pas moins constellée de jolis souvenirs. De palpitantes chasses de Pokémon en flirts de centre-aéré, de tournois de foot sur béton en crises de rire devant Bienvenue chez les Ch'ti, nous voilà bientôt un smartphone en poche, filant vers notre baccalauréat pendant que Norman fait ses vidéos. C'est que, dans ce monde globalisé où tout va très vite, notre penchant naturel au tweet et au snap pourrait bien être une des clés du succès...
XXI ème siècle tient toi prêt : nous, les enfants de l'an 0, bien installés dans nos baskets, sommes résolus à botter le train aux tracas et à croquer la vie comme un kebab salade-tomate-oignon, supplément sauce samouraï !
Le simple fait d'être issus de l'immigration pénalise les élèves: résultats plus bas, scolarité plus chaotique, insertion professionnelle plus difficile. L'ampleur et la persistance des inégalités liées à l'origine migratoire et ethnoraciale des élèves questionne nos idéaux démocratiques.
Reste à comprendre comment et pourquoi se construisent ces inégalités: ce livre explore les réponses et les impasses de plusieurs pistes d'analyse à partir des notions d'intégration, de culture, et d'origine sociale.
Les théories et concepts présentés ici sont de précieux outils pour analyser le fonctionnement des systèmes éducatifs.
En novembre 1951, 20 000 hommes sortent du delta du Tonkin pour aller défier puis détruire le corps de bataille du général Giap. Ce dernier espère rééditer sur la RC 6 sa précédente victoire de la RC 4, mais les divisions qu'il nous oppose, combattues avec ardeur et anéanties en grande partie par l'artillerie et l'aviation ne peuvent empêcher le retour de nos éléments en février 1952.
Il faudra ensuite deux ans à Giap pour pouvoir nous attaquer en force : ce sera Dien Bien Phu où le commandement français, marqué par les issues heureuses d'Hoa Binh puis de Nasan, sous-estime les enseignements du déroulement de ces batailles.
L'auteur, rescapé des combats d'Hoa Binh, rappelle les causes de l'offensive de de Lattre, en décrit le cadre géographique et le déroulement, le profil des combattants et les caractéristiques des matériels mis en oeuvre.
Il fait appel à de nombreux témoignages, replace dans leur action les unités des trois Armées et des Services et veut ainsi rendre hommage à la mémoire de tous ceux qui sont tombés dans ces combats oubliés.
Replaçant les événements et les personnes rencontrées par l'Autrichienne Ida Pfeiffer dans leurs contextes historique et géographique, cet ouvrage relate les aventures de cette voyageuse pauvre en Terre Sainte, en Islande puis lors de ses deux tours du monde. Extraordinaire témoignage sur l'état du monde au milieu du XIXe siècle, ce livre révèle aussi les relations de Mme Pfeiffer avec quelques-uns des savants les plus éminents de son temps...
Le deuxième volume de la collection Devenir Humanitaire est consacré à la Transition humanitaire en Côte d'Ivoire. Il est le fruit de la rencontre d'universitaires, d'acteurs non gouvernementaux et d'institutionnels, réunis à Abidjan les 18 et 19 novembre 2015 par le Fonds Croix-Rouge française pour débattre sur leurs pratiques, sur les principes qui les soustendent et sur les enjeux plus larges qui se rapportent à l'humanitaire.
La première partie de l'ouvrage s'intéresse aux mutations touchant l'humanitaire ivoirien et la seconde se consacre à la maladie à virus Ebola, comme révélateur de certains enjeux humanitaires au niveau sous régional.
Soulignant la nécessité de prendre en compte les « visions du monde » des populations destinataires de l'aide, les contributions rassemblées dans ce volume soutiennent une réflexion sur le sens de l'humanitaire et sur ce qui peut accompagner ses transformations contemporaines.
The second volume of the Devenir Humanitaire collection is dedicated to «humanitarian transition» in Côte d'Ivoire. It is the result of a meeting of academics, non-governmental actors and institutional representatives whom the French Red Cross Fund gathered together in Abidjan on November 18th and 19th 2015 to discuss their practices, the principles underlying them and wider issues related to the humanitarian sphere.
The first part of the book deals with the changes affecting the humanitarian landscape in Côte d'Ivoire and the second focuses on the Ebola virus, as a revealing case of some humanitarian issues at sub-regional level.
Emphasising the need to take the «worldviews» of the recipients of aid into account, the contributions collated in this volume support a reflection on the meaning of humanitarianism and how to accompany its contemporary transformations.
"Pourquoi proposer un regard européen sur l'Histoire de France ? Notre passé fut longtemps sublimé par la légende des rois sacrés qui firent la France. Puis est venu le récit révolutionnaire et républicain, suivi de la mode de déconstruction. Cet ouvrage retrace l'histoire d'une Francia depuis la chute de Rome jusqu'à nos jours. Au moment où l'idéal européen est contesté par les Britanniques et le président Donald Trump, notre identité est européenne avant d'être française. - "
Consacré à la Transition humanitaire à Madagascar, ce troisième volume de la collection Devenir Humanitaire est le fruit de la rencontre d'universitaires, d'acteurs non gouvernementaux et d'institutionnels, réunis à Antananarivo 29 et 30 novembre 2016 par le Fonds Croix-Rouge française pour débattre sur leurs pratiques, les principes et les enjeux de l'humanitaire.
La première partie de l'ouvrage présente une mise en contexte des principaux enjeux humanitaires qui traversent la Grande île. La deuxième partie s'intéresse aux interactions et aux configurations de pouvoir particulières qui donnent sa forme spécifique au champ de l'aide à Madagascar. Une dernière partie propose enfin un focus sur le système de santé malgache, qui est au coeur des préoccupations nationales et internationales, notamment face aux crises multiformes dont le pays est le théâtre.
Soulignant la nécessité de prendre en compte les « visions du monde » des populations destinataires de l'aide, les contributions rassemblées dans ce volume soutiennent une réflexion sur le sens de l'humanitaire.
Dans cet ouvrage, l'auteur nous propose de partir dans un voyage en Poitou : Argenton-Château, Bressuire, Aulnay-du- Poitou, Mauléon, à la recherche des étoiles, étapes des chemins de Saint Jacques.
Dans ces lieux, l'auteur s'attache aux monuments, aux inscriptions et aux sculptures comme guide pour cheminer intérieurement.
Dans cette marche deux ressources ; les restes de la foi chrétienne, comme le symbole de la croix connu sur tous les continents, et l'omniprésence de la fée Mélusine dessinée, gravée ou sculptée sur de nombreux bâtiments : église, châpiteaux romans, frontons.
A travers ces différentes études, l'auteur s'imprègne des lieux et de leur histoire pour s'en nourrir et la partage avec le lecteur.
Grâce à l'archéologie, et contrairement aux idées reçues, on sait que la domination romaine a appauvri et dépeuplé l'Europe qui n'a commencé à revivre qu'après la chute de Rome.
Salués comme le nouveau peuple élu, les Francs ont créé une nouvelle civilisation. Futelle exceptionnelle ? Et si l'Occident est exceptionnel, pourquoi ? Parce la démocratie jadis est née à Athènes ? Parce que Rome aurait inventé le droit ? À cause de l'héritage judéochrétien qui donna une nouvelle dignité à l'homme et à la femme ?
Tenant compte des plus récentes recherches, ce livre révèle des aspects ignorés de l'histoire de l'Europe, seul endroit du monde où, pendant seize siècles, des souverains se sont affrontés avec un homme sans armée, mais représentant Dieu sur terre, le pape.
L'Europe fut le laboratoire du monde, qu'elle a ensuite conquis. Mais ce n'est pas cette conquête, ni un supposé pillage des colonies qui explique sa suprématie. Avant même la découverte de l'Amérique, elle avait déjà réussi. Elle avait les meilleurs navires, les armes les plus redoutables et produisait la moitié des richesses de la terre, alors qu'elle en occupait moins d'un dixième de la surface.
La culture générale est le résultat d'une imprégnation lente et patiente obtenue par la fréquentation assidue des objets et des lieux du savoir.
Si l'on souhaite accélérer ou compléter le processus, on peut aussi avoir recours à certains manuels ou, mieux, à des exercices aussi ludiques qu'enrichissants présentés sous la forme de " quiz ". dans cet esprit, le questionnaire à choix multiples de culture générale ici proposé se fixe pour objectif, en 500 questions, de vous aider à vérifier vos connaissances, à les élargir ou à tes approfondir.
Dans ce but, il offre divers niveaux de difficulté : tantôt il mélange les thèmes, tantôt il les regroupe par rubriques. de plus, il obéit toujours à une volonté pédagogique délibérée, chaque réponse étant commentée, parfois de manière approfondie. en somme, non content de mesurer la culture, cet ouvrage se propose, avec humour et rigueur à la fois, d'en inspirer le goût.
A partir des recherches historiques et archéologiques les plus récentes, ce livre traite du progrès des idées politiques à travers les siècles et en esquisse une histoire mondiale. Il montre comment, à partir de la Renaissance, la surestimation de l'Antiquité a remis à la mode de vieilles idéologies réactionnaires, qui ont mené à des dictatures, des guerres totales, et plus tard aux totalitarismes. C'est en Europe occidentale qu'est née la modernité, c'est-à-dire la liberté, l'absence de peur, l'Etat de droit et la démocratie.
Partout dans le monde, les conditions d'exercice de la démocratie sont en débat. Les formes de "participation citoyenne" à l'action publique se multiplient comme pour répondre à la crise de représentativité qui affecte toutes les institutions. Parallèlement à cela, nous assistons au développement d'une gestion publique toujours plus centrée "sur les résultats" et "les performances". L'évaluation des actions et politiques publiques est prise en tension entre les contraintes d'un meilleur management public et les aspirations à une authentique intervention citoyenne.
L'occupation allemande se faisant chaque jour plus pesante, pour cette année 44, dans le Pays de Bray comme partout en France, chacun formule secrètement le voeu que « Population » ne rime plus avec les mots « réquisitions, restrictions, convocations, pressions, exécutions... », mais avec celui tant espéré de : « Libération » !
En juin 44, le débarquement allié est annonciateur d'un été chaud. La Résistance locale doit alors redoubler d'effort pour secourir les aviateurs qui, victimes de la D.C.A., tombent nombreux dans nos blés mûrs. Les V1, armes secrètes d'Hitler, sèment la terreur dans ce ciel brayon décidément très encombré.
Fin août, à l'approche de nos libérateurs, la tension monte encore d'un cran. En effet, « chatouillée » par des jeunes brayons souvent imprudents voire trop zélés, l'armée allemande en pleine débâcle se livre à quelques exactions. Des stèles dressées aux bords de nos routes en témoignent.
Libérés ! Nous sommes enfin libérés ! Après quatre longues années d'occupation, les drapeaux sortent des placards pour accueillir nos Libérateurs qui distribuent à une foule en liesse, chocolat et tabac.
Toutefois la joie ne pourra être totale qu'au retour de nos prisonniers. En attendant, c'est l'heure de l'épuration et des règlements de compte qui a sonné. et sur ce point aussi, nous ne sommes pas au bout de nos surprises !
Témoignages exclusifs de Rolande Alleaume, Jacques Bove, Roger Bourgeois, Marcel Deveaux.
Vingt-trois années de reconstruction. pour une journée d'apocalypse !
Le 7 juin 1940, les avions ennemis lâchent leurs chapelets de bombes incendiaires. La ville n'est plus qu'un immense brasier et notre petite cité, si pittoresque disparait en. trois jours !
Sur mille maisons, sept-cents environ sont détruites ! L'Hôtel de Ville abritant le Musée Mathon et l'importante bibliothèque, l'Hôpital- Hospice avec ses cent-vingt lits, l'Ecole des Garçons, le Tribunal. sont entièrement « rayés de la carte ». L'église est fortement endommagée. Ce n'est partout qu'anéantissement et ruines fumantes...
De la désolation et du. provisoire !
On imagine ce que peut représenter une telle destruction pour une ville de 4 000 habitants. Pendant huit années Neufchâtel-en-Bray va vivre dans les ruines. A quelques rares exceptions, ses habitants n'ont pas déserté la ville, bien qu'ils y mènent... une vie de « troglodytes ».
C'est l'ère du provisoire : 450 maisonnettes préfabriquées sont mises à la disposition des habitants. Des maisonnettes que la municipalité envisage même de céder à leurs locataires à titre définitif.
Une tâche colossale et des travaux controversés !
En effet, et c'est là qu'intervient le premier sujet de mécontentement, les 700 logements détruits ne seront pas tous reconstruits. En effet, ce sont seulement 500 habitations et commerces qui le seront. Ce qui impliquerait évidemment que bon nombre de Neufchâtellois resteraient... sans abri.
De plus, le détournement de la Béthune, une rocade et un « Pont Surélevé » pour régler les problèmes de circulation, c'est de la pure folie pour certains !
Robert Auzelle et « son centre administratif » (Hôtel de Ville-Tribunal-Salle des fêtes-Théâtre -Hôtel des finances) apporte une touche de modernisme qui ne fait pas toujours l'unanimité !
Reste à trouver une solution pour l'Hôpital et l'école des garçons, hors du périmètre de reconstruction. et le clocher de l'église Notre-Dame, quand va-t-il retrouver sa « place » ?...
Ainsi la course à la reconstruction et au logement va-t-elle durer officiellement. vingt-trois années que nous allons nous efforcer de reconstituer, en feuilletant les 176 pages de cet ouvrage et ses 500 documents et photos.
Le 17 juillet 1254, des clameurs s'élevaient des galères de retour de Terre Sainte : Hyères, Hyères ! Le roi Louis IX débarque en France, à la tête de ses croisés, après six années de combat contre les hérétiques.
À travers deux siècles, du XIIIe au début du XIVe, l'auteur nous entraîne dans un va-et-vient incessant entre un possible romancé et des certitudes historiques.
Croisades, relations entre les rois de France - Saint-Louis puis Philippe Le Bel - et les papes - Boniface VIII puis Clément V -, tragédie des Templiers, Sainte-Inquisition, influences des idées et des grands penseurs... Cette fresque moyenâgeuse raconte au lecteur des aventures où le suspense le dispute au souffle de l'Histoire !
L'auteur, Jean-Marie AUZANNEAU-FOUQUET, poitevin d'origine depuis de nombreuses générations, est né en 1945 à Melle.
Il commença sa carrière comme agent de voyages à Bruxelles puis journaliste, directeur de collection et cadre de presse et du tourisme, avant d'être retraité et Maire réélu d'Exoudun, commune qu'il aime passionnément. Il défend toujours les intérêts du monde rural et son combat notamment pour l'eau est sans ambiguïté.
Après avoir été président-fondateur du site des Mines d'argent de Melle en 1970, il anima le Logis de l'hercule à Niort pendant une vingtaine d'années, et contribua à une meilleure connaissance de la divine angélique, plante renommée pour ses propriétés médicinales.
Après avoir créé et dirigé entre autre, les classes patrimoine et nature de la Ville de Niort pendant sept ans, il organisa des voyages à thèmes pour des groupements touristiques européens.
Titulaire de nombreuses distinctions, dont l'Ordre National du mérite, les Palmes académiques, le Mérite agricole et la médaille du tourisme, Il est l'auteur et le préfacier d'une quarantaine d'ouvrages dans les domaines de l'histoire, de la culture et du tourisme.
Citons, le Guide pratique de Niort, les pictons et les santons face à la romanité, sur les traces de nos ancêtres au paléolithique, à la gloire des templiers en Poitou-Charentes...
Il participa au tournage de plusieurs films et donne régulièrement des conférences en France et à l'étranger.
Fin août 1944, avec l'avancée des troupes alliées, pour la Résistance locale la tension monte encore d'un cran. En effet, l'armée allemande en pleine débâcle se livre aux pires exactions, comme en témoignent les stèles dressées sur le bord de nos routes.
Mais en cette période trouble, les « mains assassines » ne sont pas seulement allemandes (le drame des Hayons)...
... mais sont aussi parfois françaises, quand celles-ci sont totalement dévouées à servir le Troisième Reich (les Martyrs de Croixdalle)...
... ou quand elles servent à assouvir des desseins personnels, en agissant bassement sous le couvert d'une résistance qui n'en porte parfois que le nom (L'affaire de Fontaine).