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Feryane
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« Le train est aussi dangereux que le paquebot », dit Hercule Poirot.
Dans un wagon de l'Orient-Express bloqué par les neiges yougoslaves, on découvre le cadavre d'un Américain lardé de douze coups de couteau. L'assassin n'a pu venir de l'extérieur : un huis clos, le plus fameux peut-être de la littérature policière.
Poirot a le choix entre une princesse russe, une Américaine fantasque, le secrétaire de la victime, un couple de Hongrois distingués, un colonel anglais, les domestiques de ce petit monde et le contrôleur du wagon.
Des voyageurs sont peut-être moins étrangers les uns aux autres qu'ils ne veulent le prétendre.
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On en fait des mystères autour de la belle Mrs Leidner ! Elle est souffrante, paraît-il. Sujette à des crises... Voilà qui est vague. Quel genre de crises ? Personne ne semble le savoir exactement. Ou plutôt, chacun se cantonne dans un silence lourd de sous-entendus.
Se drogue-t-elle ? Est-elle folle ? Simplement dépressive ? En tout cas, son mari ? qui dirige la mission archéologique de Tell Yarimjah ? a chargé Miss Leatheran de veiller sur elle.
Mais que peut une infirmière pour une femme qui reçoit des menaces de mort ?
Agatha Christie dépeint avec talent le milieu des archéologues.
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Une fois n'est pas coutume, cette enquête d'Hercule Poirot nous mène en France d'où M. Renauld - un monsieur qui semble avoir des moyens - a lancé un SOS impérieux au détective. Une limousine attendra Poirot et son ami Hastings à Calais...
Mais à Calais, point de limousine : c'est que M. Renauld a été assassiné dans la nuit. On l'a trouvé lardé de coups de couteau dans le dos, au fond d'une tombe ouverte, creusée dans un terrain de golf...
L'enquête ne sera pas facile : M. Renauld était bien discret sur son passé en Amérique du Sud; et bien mystérieuses sont les deux femmes qui, aux dires des domestiques, le rencontraient souvent le soir... Mais Poirot est là, furetant partout, à récolter le moindre indice...