La célestine n'est pas seulement une belle histoire, c'est un livre amer. Il nous montre, dans les enchaînements d'une inexorable fatalité, ce que le monde peut offrir de meilleur et de pire, la noblesse de l'homme et son abaissement, les élans les plus purs, les calculs les plus vils.
Fernando de Rojas : La Célestine. Pedro Calderón de la Barca : La vie est un songe / Les cheveux d'Absalon / Le magicien prodigieux " Ce théâtre du Siècle d'or n'est pas que "renaissant", il est "apparaissant" en mêlant l'honneur aux aventures sexuelles et transcendantes, une racine profonde du théâtre occidental. "