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Julie Doucet
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Qui d'autre que Julie Doucet pour réaliser le premier jeu de Memory de L'Association ? Collage, dessin, poésie concrète, ces 48 paires de cartes constituent autant de fenêtres sur les univers graphiques de l'artiste québécoise, Grand prix de la ville d'Angoulême en 2022, qui a oeuvré tant dans le domaine de la bande dessinée, que dans ceux de la poésie, de la microédition et des arts plastiques.
Une première version du jeu avait été réalisée en sérigraphie et tirée à 25 exemplaires par Julie Doucet en 2007.
Chaque pion soulevé suscitera l'émerveillement et s'imprimera durablement sur votre rétine. Hâtez-vous, car il s'agit d'une édition limitée à 1 500 exemplaires.
Les cartes humoristiques, poétiques et colorées de ce jeu (fabriqué en France) se rangent dans une boîte cartonnée mesurant 17x17x5cm. -
Il est rare qu'un auteur de bandes dessinées ayant officiellement arrêté d'en faire vingt ans auparavant continue à avoir une influence considérable. Cela devient exceptionnel lorsqu'il s'agit d'une autrice. C'est pourtant bien le cas de la québécoise Julie Doucet, active entre 1987 et 1999, à une époque où les dessinatrices n'étaient pas légion, surtout à se situer sur un terrain briseur de tabous et féministe à la fois. Julie Doucet fait aujourd'hui figure de mythe. Les éditions Drawn & Quarterly à Montréal la rendront célèbre à partir de 1990 avec le comic-book Dirty Plotte, que Julie avait commencé seule en tant que fanzine. En France, c'est en majeure partie à L'Association que l'on doit la publication de son travail : elle est présente dès 1990 dans le tout premier collectif de la structure, Logique de Guerre Comix. Puis ce sera Ciboire de Criss ! en 1995, déjà un recueil de fragments, et quatre autres livres.
La conception éditoriale et graphique de Maxiplotte a été réalisée par Jean-Christophe Menu, premier éditeur de Julie Doucet en France et co-fondateur de L'Association, en étroite collaboration avec l'autrice québécoise. Véritable panorama de l'évolution de son travail, Maxiplotte rassemble des travaux réalisés au cours de ses douze années d'activité d'autrice de bande dessinée. S'y déploie une oeuvre à la fois subversive, féministe et fantaisiste. Julie Doucet évoque crûment et avec humour la vie du corps - des règles au désir sexuel en passant par les crottes de nez - les stéréotypes de genre, ses expériences de jeune femme, sans oublier sa vie onirique qu'elle relate abondamment. En noir et blanc, les récits s'épanouissent au fil de cases aux décors minutieusement élaborés, peuplées de personnages aussi insolites qu'attachants.
Cette anthologie de 400 pages comporte, outre la totalité des histoires issues des recueils Ciboire de Criss ! (L'Association, 1996), Monkey and the Living Dead (L'Association, 1999), tous deux épuisés, et quelques récits extraits de Changements d'adresses (L'Association, 1998), des pages de carnet extraites de son journal intime au tournant des années 80 et 90 ainsi que des reproductions des couvertures du légendaire Dirty Plotte, de divers fanzines et éditions internationales. Soit plus de 200 pages d'inédits dont près de 40 en couleurs. À cela, s'ajoutent une introduction de Jean-Christophe Menu, ainsi que la retranscription d'une passionnante interview de Julie Doucet avec le journaliste spécialiste de bande dessinée Christian Gasser. Incontestablement, Maxiplotte fait partie des ouvrages de référence de la bande dessinée alternative de ces trente dernières années.
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Après une première édition exceptionnelle et (quasi) épuisée, Suicide total de Julie Doucet est désormais disponible en version brochée.
Cette nouvelle édition rend Suicide total accessible au plus grand nombre sans pour autant lésiner sur la qualité et le plaisir de lecture. Si réitérer une fabrication de type leporello n'était pas envisageable, la reliure suisse de cette édition permet d'ouvrir le livre à plat et de profiter pleinement des doubles pages. Avec son jaspage et son fil de couture noirs, cette nouvelle version - de dimensions légèrement inférieures - n'en est pas moins enchanteresse.
Julie Doucet avait promis d'arrêter la bande dessinée et l'autobiographie. Voici qu'elle revient sur ses mots avec une fabuleuse fresque immersive. Nous sommes en 1989, Julie a 23 ans, elle réalise des fanzines qu'elle distribue dans les librairies ou par correspondance. Elle entame alors une relation épistolaire intense avec l'un de ses lecteurs, un Français qui fait son service militaire et qu'elle surnomme « le hussard ». Les deux jeunes gens s'écrivent des centaines de lettres et s'enthousiasment l'un pour l'autre, jusqu'à ce qu'un voyage en Europe leur offre l'occasion de se rencontrer en chair et en os...
Suicide total a été dessiné d'un seul tenant. Pas de cases, mais des pages saturées dans un entrelacs de visages connus (celui de Julie notamment) et inconnus, d'oiseaux, d'animaux, d'objets variés - le tout dessiné à l'encre - et qui nous emporte comme un fleuve à remonter le temps. La machine est un peu rouillée au début et l'autrice s'exhorte elle-même à dessiner, évoque sa difficulté à manier les mots, avant de plonger - et nous avec elle - dans le flot de ses souvenirs pour ressusciter l'intensité des sentiments passés.
Avec Suicide total, l'autrice québécoise, Grand Prix du festival de la ville d'Angoulême 2022, nous offre une « revisite » de la bande dessinée qui fait déjà date. -
Club tout colle si bien avec ju·do - Textes/poèmes par Julie Doucet
Julie Doucet
- Musees Strasbourg
- Beaux Arts
- 6 Juin 2024
- 9782351252215
L'artiste québécoise Julie Doucet est invitée par le musée Tomi Ungerer - Centre international de l'Illustration en 2024. À cette occasion, elle propose un travail personnel et inédit, un petit " livre d'artiste ", entre le collage et la poésie, pour découvrir une autre facette de cette bédéiste culte, Grand Prix du Festival d'Angoulême en 2022.
L'artiste québécoise Julie Doucet compte parmi les auteurs et autrices les plus important·es et les plus influent·es de la bande dessinée alternative au Canada, aux États-Unis, en France et en Allemagne depuis les années 1990. En 2022, elle a reçu le Grand Prix du Festival d'Angoulême pour l'ensemble de son oeuvre. Cette autrice culte a créé une oeuvre foisonnante qui, outre le dessin, s'étend aussi à la gravure, au collage, à la vidéo et à la poésie.
Au coeur de cette oeuvre se trouve un profond désir de rupture avec les contraintes sociales et artistiques formelles. Dans les années 1990, à travers sa série de bandes dessinées autofictionnelles Dirty Plotte, Julie Doucet apporte à la scène alternative de la bande dessinée une vision subjective et radicale de la condition féminine. Sa représentation des menstruations, de la masturbation, de la santé mentale, mais aussi les expériences de concurrence et de réussite dans un domaine dominé par les hommes, ouvrent pour toute une génération de dessinatrices la possibilité d'une écriture située. Elle préfigure ainsi l'autofiction comme méthode d'empowerment, de prise de pouvoir sur sa propre vie. Dans les années 2000, Julie Doucet abandonne la bande dessinée pour passer à d'autres formes d'art. Elle développe alors une pratique plastique dans laquelle il s'agit toujours de réinventer le rapport entre l'image et l'écriture. Ses illustrations et collages sont des images de matière, ses films sont des études sur la ligne, ses photocomics sont des images à lire à voix haute.
En terme de fabrication et d'édition, sa pratique va du fanzine underground, en passant par ses publications dans les toutes premières maisons d'édition de BD, jusqu'à une pratique expérimentale sur la forme matérielle du livre, à laquelle elle est revenue ces dernières années. À l'occasion de l'exposition qui lui est dédiée au musée Tomi Ungerer, elle proposera un travail inédit, personnel, à mi-chemin entre le collage et la poésie : un petit " livre d'artiste " qui permettra de découvrir une autre facette de cette grande figure de la bande dessinée. -
Après les courtes histoires délurées reprises dans Ciboire de criss !, Julie Doucet a commencé dans son comic-book anglophone Dirty Plotte des récits plus longs et plus ouvertement autobiographiques. C'est cette période qui fait l'objet de son second livre à L'ASSOCIATION, où l'on découvrira les déboires sentimentaux de l'Auteur, sur fond de Montréal et de New-York.
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Une grande nouvelle que le retour de Julie Doucet à L'ASSOCIATION. Julie a décidé de dessiner une page de journal chaque jour pendant un an, entre novembre 2002 et novembre 2003. Plus vraiment de la bande dessinée: du texte, du dessin, du collage, bref un cocktail parfait pour la collection CÔTELETTE.
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Réédition de l'histoire de la petite chatte Monkey, dont les envies sont moyennement chastes, parue aux USA dans les premiers Dirty Plotte, et en France chez Chacal Puant. Un classique de l'Underground enfin redisponible.
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L'Affaire madame Paul est un feuilleton paru dans la presse de Montr
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Fantastic Plotte reprend les toutes premières bandes dessinées de Julie Doucet, autopubliées entre 1987 et 1991 dans le fanzine Dirty Plotte qui allait la rendre célèbre. La plupart des planches sont inédites et permettent de juger de l'incroyable force de ces bandes, à la fois crues et imaginatives, dessinées avec un grand talent alors que l'auteure en est encore à ses débuts. « Un style pur, dépouillé, noir, pour une BD à l'estomac.
» selon Antoine de Gaudemar de Libération.
Les fanzines sont repris dans la langue d'origine, qui variait du français à l'anglais, selon les parutions et tous les textes sont traduits dans la deuxième partie du volume.
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La dessinatrice québécoise nous offre une méditation graphique pleine d'humour sur l'amour, la vie et les bagages !
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A Diary by Julie Doucet. A year in the life of a world-renowned artist, meticulously drawn, collaged and written every day.
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«À l'école de l'amour» s'inscrit dans le prolongement direct du travail amorcé en poésie avec «Je suis un K». Le livre se présente donc comme un ensemble de poèmes, de mots, formés à partir de lettres découpées dans des journaux et revues. Seulement ce travail se fait cette fois sur 80 pages et offre, avec humour mordant, une vision noire et cohérente du monde amoureux. Des collages d'images, véritables petits chef d'oeuvres d'humour dada,viennent compléter le tableau.
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[ALERTE INFO] RÉIMPRESSION PRÉVUE FIN 2018
Prévu depuis l'aube de L'ASSOCIATION, ce Ciboire de criss ! (juron québécois) est une anthologie des meilleurs récits courts de Julie Doucet parus au Canada et aux USA, dans Dirty Plotte et ailleurs. C'est aussi paradoxalement le premier album en français de cette francophone... Julie Doucet est une drôle de fille qui fait des rêves bizarres : elle se réveille avec un zizi ou se retrouve enceinte d'un chat. N'attendons donc pas là un manifeste de l'« éternel féminin ». -
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J comme Je est une « autobiographie partielle » (de la naissance à la fin de l'adolescence) qui s'écrit, telle une multitude de lettres anonymes, à l'aide de lettres ou mots découpés dans les journaux auxquels viennent se mêler des dessins de l'artiste.
On y découvre donc, en vrac et au fil des pages : Comment Julie, presque Sophie s'appelle Julie à cause de Julie Christie, « cette blonde aux yeux bleus brevetée » ; son amitié avec Martine, sa cousine, « un peu menue, mais compagne de haute qualité, 100% meilleure amie » ; que Julie est un garçon manqué, « une fille sans vocation savonnette qui joue à la poupée avec virilité » ; son déclin scolaire et son étonnement « quand elle a regardé passer devant elle le paquebot de l'éducation en règle » ; le divorce de ses parents qu'elle vit comme un « passage au hachoir familial de son foyer formule-confort deux voitures » ; sa rencontre avec Brigitte avec qui elle «préfère écouter le silence, la bouche fermée, les oreilles immobiles».
Un livre intime et pudique, mais qui résonne de la voix unique, à l'accent chantant made in Nouvelle-France, de la canadienne Julie Doucet.
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Réédition d'un classique de l'Oie de Cravan, d'abord paru en 2002 en édition limitée. Un certain hiver à Berlin, Julie Doucet trouve dans les poubelles le contenu épars de l'album photo d'une famille. Outre quelques notes en turc et le nom Melek au dos de certaines, le mystère de ces images est complet. Elle s'en inspire pour créer, à l'aide de gravures sur bois et de sérigraphies, une véritable construction poétique autour du personnage de Melek. Pour accompagner ces images Benoît Chaput rassemble quelques textes. Il en résulte un livre d'une étrange et forte unité où la beauté des gravures trouve son support idéal.
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Concours inspecteur des finances publiques (DGFIP) : catégorie A ; méthode et entraînement
Pascal Aillaud
- Vuibert
- Admis Fonction Publique
- 21 Mars 2023
- 9782311215724
Une préparation méthodique et intensive pour réussir le concours d'inspecteur des finances publiques externe ou interne !
Épreuves écrites :
Note de synthèse Réponse à des questions, commentaire de texte ou cas pratiques Langues étrangères (concours interne) Épreuves d'admission :
Entretien avec le jury Exposé (concours externe) Langues étrangères (concours externe) Vous trouverez dans ce livre la méthode et l'entraînement indispensables à votre réussite :
Tout sur votre concours et votre métier pour être informé de ce qui vous attend ;
Un test d'auto-évaluation pour personnaliser vos révisions ;
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Offert en ligne : un fil d'actualité mois par mois. -
Esprit bistrot ; 60 recettes de grands chefs d'aujourd'hui
Thierry Breton, Christian Etchebest, Stéphane Jego
- Mes Meilleures Recettes
- 4 Octobre 2012
- 9782709824118
Bruno Doucet, à la Régalade, nous met l'eau à la bouche avec sa terrine de campagne de la Régalade ; sa lotte de Bretagne piquée au chorizo, risotto façon paella et son soufflé chaud au Grand Marnier.
Julien Duboué, à l'Afaria, avec sa parillada de coquillages et crustacés basquaise ; son canard gras grillé de la tête aux pieds, frites au couteau ; son velouté de goyave au rhum, sorbet coco citron vert.
Christian Etchebest, à la Cantine du Troquet Dupleix, avec son caviar d'aubergines, coeur de sucrine et jambon poêlé ; sa poitrine de veau farcie, aubergines au cumin ; sa tarte orange-chocolat de la Cantine du Troquet.
Thierry Breton, Chez Michel, avec son pressé de foie de lotte de rivière et foie gras, mesclun du Couesnon ; son agneau de pré-salé aux asperges rôties ; son paris-brest Paris « 53 heures ».
Stéphane Jego, à l'Ami Jean, avec son boeuf carotte grand-maman en chaud froid ; son lapinou, rôtis, échalotes, ail, cuisson douce à la bière, servis en cocotte. Et son « ri zo lait,», caramel au beurre salé, nougatine.
105 recettes toutes superbement illustrées de photos réalisées dans la cuisine du chef. Des recettes qui se déclinent en suivant les produits du marché et les recettes du terroir.