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Nina Luec
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« Si seulement » est le récit d'une petite fille porteuse de handicap victime de discriminations qui n'a pas les réponses adéquates pour oser les dénon- cer. Dans un premier temps, ces violences subies ne font que l'atterrer. Ensuite, elles la mettent en colère. Cette enfant nourrit son imagination qui démontre particulièrement sa force, son audace... Et son intelligence à passer outre et à donner toute sa valeur aux personnes qui la chérissent. Amatrice d'albums jeunesse, SANDRINE VAN MALLEGHEM les utilise souvent dans ses actions pédagogiques. Avec ce premier album, elle poursuit son engagement contre la discrimination, pour l'égalité. Le trait sensible de l'illustratrice et autrice de bande dessinée NINA LUEC accompagne le récit. NINA LUEC met ses crayons au service de cet album jeunesse pour donner au texte toute sa puissance d'évocation.
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Cette fiction repose sur l'idée d'assimiler la Bièvre à une femme, Louise : de la pureté initiale de sa source à la pollution par l'activité humaine et industrielle. Le récit nous conte l'histoire de la belle Louise, perdant peu à peu sa naïveté et subissant les épreuves mises sur sa route par l'activité des hommes. Au milieu du XIXe siècle, Louise, toute jeune paysanne native de Buc, part à la recherche d'Arthur, qui l'a secourue lors d'une agression, ce qui eut pour effet d'éveiller un sentiment amoureux.
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" Dans cette bande dessinée, deux récits se croisent, où se mêlent faits réels et fantastique.
Le point de rencontre entre les deux histoires se situe autour du tableau du peintre breton Yan'Dargent: «Les lavandières de la nuit», présenté au salon de 1861.
La première partie du récit, cinquante-deux pages de Nina Luec, puise dans les superstitions et la culture populaire du Finistère Nord au XIXe siècle. Yan'Dargent et François Luzel, deux jeunes garçons de Saint-Servais, bravent les terreurs de la nuit pour partir à la recherche de mystérieuses lavandières dont ils ont entendu parler lors d'une veillée. La narration, focalisée sur l'enfance de Yan'Dargent, souligne l'impact que ses visions surnaturelles ont eu dans sa jeunesse sur ses oeuvres, à la croisée du romantisme noir et du folklore breton.
Mandragore, dans la seconde partie, réalise une enquête d'une dizaine de pages autour de la mort du peintre. Cette approche anthropologique nous narre le rite de décollation, pratiqué à sa demande sur le corps de Yan'Dargent post-mortem. Le scandale qui en découlera éclaboussera injustement la réputation du peintre, boudé par ses contemporains."
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