Jane Marple lit avec incrédulité la lettre que lui a adressée M. Rafiel, récemment décédé, un homme qu'elle n'a rencontré qu'une fois, lors de vacances dans les Caraïbes (Le major parlait trop). Confiant en son intuition naturelle pour la justice, M. Rafiel lui a laissé des instructions afin qu'elle enquête sur un vieux crime. Cependant, il ne lui dit ni qui était impliqué, ni où ni quand le crime a été commis...
Miss Marple est-elle l'incarnation de Némésis, la déesse grecque de la vengeance et de la justice ?
Cinq témoignages accablants ont fait condamner à la détention perpétuelle Caroline, la femme de Amyas Crale, peintre renommé, mort empoisonné.
Seize ans plus tard, Hercule Poirot prend l'affaire en main. Ne s'arrêtant pas aux évidences, tirant parti du moindre indice, il fait éclater une vérité à laquelle personne ne s'attendait.
Cinq témoignages accablants ont fait condamner à la détention à perpétuité Caroline, la femme d'Amyas Crale, peintre renommé retrouvé mort empoisonné. Seize ans plus tard, Hercule Poirot, qui ne s'est jamais satisfait du dénouement de l'affaire, a l'occasion de reprendre le dossier en main. Ne s'arrêtant pas aux évidences, tirant parti du moindre indice, il fera éclater une incroyable vérité à laquelle personne ne s'attendait.
Traduit de l'anglais par Jean-Michel Alamagny
Au moment où Hercule Poirot s'apprête à déguster son chocolat chaud, un savant atomiste l'appelle à la rescousse...
Le colonel Bantry est contrarié : une jeune femme, vêtue d'une toilette tape-à-l'oeil, a été retrouvée étranglée dans sa bibliothèque ! Cruelle énigme pour la police. Heureusement, le manoir des Bantry est situé non loin du village de miss Marple. Cette sympathique vieille dame pleine de bon sens permettra, une fois de plus, de dénouer toute l'affaire.
Miss Marple, en vacances aux Antilles, se livre à sa distraction favorite : étudier les hôtes de son hôtel. Le Major Palgrave ne cesse de l'accabler du récit de ses exploits. Mais le Major parle trop. Il meurt. Pourquoi a-t-on tué cet inoffensif vieillard, et qui ? Cette mort, apparemment naturelle, cache un crime. Miss Marple découvrira-t-elle le coupable ?
Où dissimuler, un soir de Noël, un rubis gros comme un bouchon de carafe dérobé à un prince oriental ? Quelle foi ajouter à l'intuition de cette lady qui prétend savoir, contre toute vraisemblance, qui est l'assassin de son mari ? Comment commettre un crime dans un jardin, alors qu'on vous a enfermé à double tour dans votre chambre ? Hercule Poirot et Miss Marple ont réponse à tout...
" Je suis censée m'atteler à un roman policier, mais, succombant à la tentation naturelle de l'écrivain d'écrire tout sauf ce dont il est convenu, me voilà prise du désir inattendu de rédiger mon autobiographie.
D'ailleurs, autobiographie est un bien grand mot. Il suggère l'étude soigneusement pensée de toute sa vie. Il implique de ranger les noms, les dates et les lieux en un ordre chronologique rigoureux. Or, ce que je veux, moi, c'est plonger au petit bonheur les mains dans le passé et les en ressortir avec une poignée de souvenirs variés. " Agatha Christie a commencé la rédaction de cet ouvrage en avril 1950 pour l'achever quelque quinze années plus tard, alors qu'elle était âgée de 75 ans. Une entreprise de si longue haleine ne peut aller sans certaines répétitions ou contradictions, mais rien d'important n'a été omis, et l'on peut affirmer que cette autobiographie est bien telle qu'elle aurait aimé la voir paraître. Elle l'a arrêtée à 75 ans parce que, comme elle l'écrivit elle-même, " le temps semble venu de mettre un point final. À ce stade de la vie, il n'y a plus rien à dire".
Bien que cette autobiographie commence - comme il se doit - par le commencement pour aller jusqu'à l'époque où elle a cessé d'écrire, Agatha Christie ne s'est jamais trop laissée enfermer dans le carcan de la chronologie. L'un des charmes de ce livre réside dans sa manière d'avancer au gré de sa fantaisie, s'interrompant ici pour méditer sur les coutumes singulières des femmes de chambre ou sur les compensations de la vieillesse, faisant là un saut dans le futur parce qu'un trait de son caractère d'enfant lui rappelle tellement son petit-fils. Elle ne s'est pas non plus sentie obligée de tout mettre. Certains épisodes que d'aucuns pourraient juger importants - sa fameuse disparition, par exemple - n'y figurent pas, encore que, en ce cas précis, les références ultérieures à une précédente crise d'amnésie donnent la clé du véritable cours des événements. Quant au reste : " Je me suis rappelée, je suppose, ce que je voulais bien me rappeler. " Et même si sa séparation d'avec son premier mari est racontée avec une poignante dignité, elle préfère en général se souvenir des moments heureux ou amusants. Peu de gens auront su tirer amusement aussi intense et varié de l'existence, et ce livre est avant tout un hymne à la joie de vivre.
Londres, 1923. Le procès de Leonard Vole, accusé d'assassinat sur la personne d'Emily French, passionna l'opinion. D'abord parce que l'accusé était beau et jeune, ensuite parce que le crime était particulièrement ignoble, et enfin parce qu'on portait aussi un vif intérêt à Romaine Heilger, le principal témoin de l'accusation. Sa photo avait paru dans divers journaux, ainsi que de nombreuses histoires plus ou moins fantaisistes sur ses origines et sur son passé...
Quant au célèbre détective Hercule Poirot, à travers la nouvelle Le Second Coup de gong il va avoir fort à faire : résoudre l'énigme d'un homme retrouvé mort, une balle dans la tête et un pistolet à ses pieds. Pourtant il ne s'agit pas d'un suicide...
Témoin à charge réunit douze nouvelles ; douze mystères qui témoignent du style unique d'Agatha Christie.
Traductions révisées de Jean-Michel Alamagny, Pascal Aubin, Alexis Champon et Jean-Paul Martin
Mrs Coverdale est aux anges, après des années passées à enchaîner les contrats avec des jeunes filles au pair fantasques et insolentes elle a enfin trouvé la perle rare. Eunice est une domestique zélée et obéissante. Cuisine, ménage et gros travaux, rien ne la rebute. Elle abat son ouvrage comme une brute et dort comme une souche. Car Eunice semble dénuée d'états d'âme. A vrai dire on se demande même ce que cache ce masque placide et ces yeux froids. Eunice a-t-elle jamais ressenti une émotion? Il n'est pas impossible que la jeune femme soit la proie de pulsions incontrôlables et que la famille Coverdale en fasse un jour les frais...
La nuit, parfois, dans les canyons de Californie, certains camionneurs transportent des trucs bizarres : les déchets empoisonnés de la technologie. On a intérêt à ne pas trop s'approcher des décharges où ils les déversent. Car il n'y a pas que les revolvers qui tuent.
«Délurée, toute jeunette, insolente, et cherchant dans la vie violence et sensations. Ajoutez-y une mère névrosée, le terrible souvenir d'un père assassin, et l'ombre menaçante d'un maquereau bi-sexuel qui cherchait à en faire une tapineuse. Alors, d'instinct, je décidai que c'était une chouette gosse et qu'il fallait faire quelque chose pour elle. En toute innocence, et si vous ne me croyez pas, c'est que, braves gens, vous avez l'esprit mal tourné.»
Un riche collectionneur aux intentions vénales voudrait retrouver le mystérieux exemplaire d'Ulieta, spécimen unique d'une espéce rapportée des mers du Sud en 1775 par le capitaine Cook.
Christmas Pudding : Un recueil de six nouvelles qui met à l'honneur Miss Marple, Hercule Poirot et surtout le talent de leur auteur : Agatha Christie.
« Ce livre est un festin de Noël. La sélection du chef et le chef, c'est moi ! Il y a deux plats de résistance : Christmas Pudding et Le Mystère du bahut espagnol. Et plusieurs entremets : Le Policeman vous dit l'heure, Le Rêve et Le Souffre-douleur. Un sorbet : Le Mort avait les dents blanches.
Dans Christmas Pudding, je me suis fait plaisir car cette aventure évoque pour moi le délicieux souvenir des Noëls de mon enfance. » Agatha Christie (Traduit de l'anglais par Jean-Michel Alamagny) Le Noël d'Hercule Poirot : Un de ces règlements de compte en famille dont Agatha Christie a le secret !
C'est la veille de Noël et Simon Lee a invité ses enfants à passer les fêtes auprès de lui dans sa magnifique propriété. Mais est-ce vraiment une bonne idée d'organiser ce réveillon en famille quand chacun semble avoir une bonne raison de haïr le tyrannique patriarche ?
(Traduit de l'anglais par Françoise Bouillot)