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L'Agrume
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L'alcoolisme et les tentatives aléatoires pour s'en sortir, raconté par l'hilarante Julia Wertz.
Le jour de ses 30 ans, Julia Wertz défonce une jeep de location dans la jungle de Porto Rico. Pour comprendre comment elle en est arrivée là, il faut revenir plusieurs années en arrière, quand elle décide d'en finir avec l'alcool.
Les imbuvables raconte ce chemin aléatoire vers la sobriété, un parcours semé d'épreuves et de rebondissements, tour à tour émouvants et hilarants : les groupes de parole improbables, la cure de désintox, les histoires d'amour foireuses. Avec une honnêteté sans faille et un humour si singulier, Julia Wertz prolonge son oeuvre autobiographique commencée avec
Whiskey & New York,
L'attente infinie et
Le musée de mes erreurs. -
Étienne vient de se faire quitter par sa copine Mathilde. Le coeur brisé et des billets d'avion non remboursables en poche, il s'envole pour visiter Rome.
Seul, entouré d'amoureux, il erre de monument en monument, imaginant Mathilde avec lui et chantant à tue-tête Michel Jonasz ou Joe Dassin.
Car Étienne est avant tout un grand fan de chanson française. Il en connaît une infinité sur le bout des doigts, et très souvent, il emprunte les paroles de son répertoire pour s'exprimer. Peut-être même est-ce cela qui a fait partir Mathilde...
Réussira-t-il à oublier sa peine à travers cette errance décalée et étrangement Rome-antique ?
Un récit humoristique sur le thème de la rupture amoureuse dans lequel le talentueux Simon Bournel-Bosson réinvente son registre d'auteur, tout en conservant son trait pop et ultra-dynamique, valorisé par une impression en deux couleurs Pantone. -
Divans et cabinets de toutes les couleurs sont les théâtres des passions humaines les plus inavouables. Cela peut être un rien, un trop-plein, ou encore un entre-deux insatisfaisant ; sur un divan de thérapie, tout se dit sans jugement... ou presque.
Les Divans est un recueil d'illustrations dont le fil rouge est le cabinet de thérapie, et plus largement le questionnement introspectif, pour nous immiscer dans la psyché, avec humour et fantaisie. En ouvrant son ouvrage par le problème sartrien de la haine des autres, puis en passant par le mal-être existentiel ou la pensée obsessionnelle, Violette Vaïsse zigzague avec ironie entre les concepts de la psychologie. On y retrouve des psychologues complètement déconnectés ou encore des patients poussant la pratique de la psychanalyse jusque dans ses retranchements. Atteint de mythomanie maladive ? D'avarice aiguë ? Ou du syndrome de monsieur-je-sais-tout ? Toutes les situations sont bonnes à être extériorisées. Chaque nouvelle page est une saynète dans laquelle chacun peut se retrouver, et rire de se voir ainsi tourné en dérision. -
Un récit très actuel, un portrait de femme bouleversant !
C'est l'histoire d'une femme d'une trentaine d'années qui, du jour au lendemain, se trouve terrorisée, tétanisée, clouée au sol. Quelque chose en elle s'est réveillé ou rompu, mais elle ne comprend ni quoi ni pourquoi... Alors sa mère se voit dans l'obligation de lui révéler certaines choses, longtemps tues et profondément enfouies. Et cette parole va, par effraction, balayer tout un imaginaire. La boîte de Pandore est ouverte.
Une famille imaginaire, c'est celle qu'on a toujours connue, mais qui ne sera plus jamais vraiment la même, dès lors qu'on en déterre les secrets... Une famille imaginaire, c'est celle qu'on pensait créer, jusqu'à ce qu'on réalise qu'elle n'était pas vraiment destinée à exister. -
Une plongée passionnante dans notre histoire contemporaine, construite comme une enquête, qui interroge la culpabilité d'une famille allemande ordinaire sous le nazisme.
" On ne savait rien. " Ces mots prononcés par la grand-mère de Bianca Schaalburg ne cessent de lui revenir en tête. Peut-on traverser une guerre sans en connaître les atrocités ? Est-ce possible d'habiter une maison sans savoir que ses anciens locataires juifs en ont été expulsés pour être envoyés dans des camps de concentration ? Quel rôle a véritablement joué Heinrich, le grand-père, soi-disant comptable dans la Wehrmacht ? Était-il un nazi convaincu ou un simple suiveur ?
Dans L'Odeur des pins, l'autrice allemande Bianca Schaalburg replonge dans son enfance berlinoise et l'histoire de sa famille pour démêler les mensonges et les dénis liés aux traumatismes de la guerre. Pas à pas, nous la suivons dans cette enquête familiale sur quatre décennies, à travers le Troisième Reich, les années de reconstruction de l'Allemagne, la guerre froide, jusqu'aux événements de 1968...